
« Habitat insalubre », par JACE
Dans sa résolution 48/13, le Conseil a appelé les États du monde entier à travailler ensemble, et avec d’autres partenaires, pour mettre en œuvre ce droit nouvellement reconnu.
Le texte, proposé par le Costa Rica, les Maldives, le Maroc, la Slovénie et la Suisse, a été adopté par 43 voix pour et 4 abstentions – de la Russie, de l’Inde, de la Chine et du Japon.
Dans le même temps, par le biais d’une deuxième résolution (48/14), le Conseil a également renforcé son attention sur les impacts du changement climatique sur les droits de l’homme en créant un Rapporteur spécial spécifiquement dédié à cette question.
Pour rappel, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 24 % de tous les décès dans le monde, soit environ 13,7 millions de décès par an, sont liés à l’environnement, en raison de risques tels que la pollution atmosphérique et l’exposition aux produits chimiques.


Selon les premiers résultats de l’enquête sur la mobilité des personnes, en 2019, les Français réalisent environ trois déplacements par jour, du lundi au vendredi. Cela représente près de 181 millions de déplacements quotidiens.
En 2018, 2,4 milliards d’euros ont été consacrés à la protection de la biodiversité et des paysages sur le territoire national. Cette dépense se répartit, à parts sensiblement égales, entre le développement des aires protégées, la réduction des pressions sur les milieux naturels, la protection du patrimoine naturel et la réhabilitation des milieux aquatiques. Le financement de la protection de la biodiversité en France provient essentiellement de la sphère publique (État, y compris les agences de l’eau, et les collectivités locales).
A l’issue d’une rencontre avec les représentants de la filière ce 5 octobre, la ministre de la Transition écologique a présenté de nouvelles mesures pour favoriser l’essor « maîtrisé » des parcs éoliens, dont le déploiement est jugé nécessaire pour tenir les objectifs énergétiques et climatiques de la France. Pour apaiser les tensions sur certains projets, une fonction de « médiateur » de l’éolien va être créée. Le rôle des élus locaux doit aussi être renforcé avec l’entrée en application de plusieurs mesures prévues par la loi Climat et Résilience.
Publics concernés : exploitants d’installations produisant de l’électricité à partir d’énergie solaire photovoltaïque.

