Rapport de mise en oeuvre du PSQA Haute-Normandie

Air Normand vient de publier le rapport de mise en oeuvre du Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air.

Pour le télécharger, c’est ici : Rapport de mise en oeuvre du PSQA Haute-Normandie. – Air Normand.

Quel sera l’état de l’eau et des milieux aquatiques en 2030 ?

reserve-seineL’eau et les milieux aquatiques entretiennent des relations indissociables avec les territoires. Pendant des siècles les territoires ont adapté leur mode de vie, leur aménagement ou encore leur économie aux inégalités de répartition de ces milieux et au grand cycle de l’eau. Cependant, ces territoires, que ce soit par exemple au travers du petit cycle de l’eau, des usages agricoles, énergétiques, du transport, de la pêche, de l’aquaculture ou encore pour des raisons d’aménagement, ont des impacts sur les milieux aquatiques et les ressources en eau. On peut citer la surexploitation, les pollutions, la perte de ressources pour la biodiversité ou encore la diminution des capacités de résilience de ces systèmes. L’eau et les milieux aquatiques représentent en outre, tantôt un risque pour les lieux de vie de l’homme, tantôt des outils de défense naturelle contre les inondations ou encore une source de culture. Enfin, l’eau et les milieux aquatiques participent à la régulation du climat, qui en retour, influence les activités humaines. 

Ces liens complexes soulignent le défi que représente l’articulation entre la préservation des ressources en eau et des milieux aquatiques et le développement socio-économique des territoires dans le sens d’un mode de développement durable.

Or, il est fort probable que l’évolution future des territoires ne suivra pas une trajectoire identique à celle du présent. En effet, la perception sociale de ces milieux, de même que les usages, les pressions et les disponibilités en eau peuvent changer suivant le contexte territorial, mondial ou environnemental. 

Ces incertitudes invitent à s’immerger dans le futur et soulèvent certaines questions. Quels pourraient être les impacts des dynamiques socio-économiques des territoires sur l’eau et les milieux aquatiques ? Comment les enjeux futurs de l’eau et des milieux aquatiques influeront-ils sur le développement des territoires ? Comment leurs acteurs appréhenderont-ils l’eau et les milieux aquatiques ?

La durabilité des activités humaines sur les territoires résultera pour une part importante de la capacité à répondre à ces questions.

Pour télécharger la brochure, c’est ICI.

Un nouveau site de rencontre ? (pour abeilles et fleurs…)

La contribution de la pollinisation par les abeilles est l’un des facteurs clés de la réussite de nombreuses productions agricoles, et particulièrement les multiplications de semences oléagineuses.

Pour les producteurs, l’objectif est que chaque demande de ruches soit couverte par une offre de qualité.

De leur côté, les apiculteurs professionnels souhaitent connaître précocement les besoins en ruches pour préparer les colonies qui seront installées dans les cultures.

Pour répondre à ces demandes le site BEEWAPI a été créé. C’est une plateforme de mise en relation directe des apiculteurs et des producteurs.

via Beewapi – un plus pour la pollinisation.

Biodiversité et évolutions des pratiques agricoles – Recherches et analyses pour l’action publique – Ministère du Développement durable

L’intensification de l’agriculture a accéléré le déclin de nombreux habitats semi-naturels, ce qui a conduit à un appauvrissement de la biodiversité. Face à ce constat, dès les années quatre-vingt-dix, les ministères chargés de l’agriculture et de l’environnement ont mis en place des politiques publiques de protection de la biodiversité sur les espaces agricoles. Pour mieux identifier les enjeux et les pratiques dans ce domaine, le ministère du développement durable a lancé en 2000 un programme de recherche incitative, intitulé DIVA Action Publique, Agriculture et Biodiversité. Ce programme vise à concevoir et à définir des modalités de mise en œuvre des actions publiques permettant, sur des bases scientifiques étayées, de favoriser la préservation de la biodiversité dans les milieux agricoles. Plusieurs appels à projets, financés par la Direction de la recherche et de l’innovation, ont permis de mieux connaître les conditions de l’évolution des pratiques agricoles. Outre cet éclairage pour les politiques publiques, le programme a aussi permis de créer et d’animer un réseau dynamique, associant chercheurs en écologie et en sciences sociales, décideurs et gestionnaires des espaces ruraux, pour mieux appuyer les acteurs de l’agriculture sur les territoires dans leur engagement en faveur de la biodiversité.

Télécharger : le point sur biodiversité et évolutions des pratiques agricoles : recherches et analyses pour l’action publique PDF – 224.5 ko

via Biodiversité et évolutions des pratiques agricoles – Recherches et analyses pour l’action publique – Ministère du Développement durable.

2ème séminaire national sur l’énergie éolienne et la protection de la biodiversité – NANTES – 29/30/31 Octobre 2013 – Association Française des Ingénieurs Ecologues

L’exploitation de l’énergie éolienne et la protection de la biodiversité sont deux des axes qui répondent au besoin urgent d’orienter notre développement sur des voies plus soutenables.

Les éoliennes sont susceptibles de perturber des équilibres écologiques notamment via des impacts de dérangement, perte d’habitat et mortalité d’oiseaux et de chauves-souris. Il est essentiel de connaître et maitriser ces impacts afin d’assurer une cohérence entre ces deux politiques durables.

Trois ans après le premier séminaire national organisé à Reims en 2010 et qui avait rassemblé plus de 150 participants de tous horizons, ce séminaire est une occasion unique de faire le point sur les connaissances acquises, les retours d’expériences et les évolutions de la réglementation, les nouvelles technologies d’observation…

La première journée sera consacrée à des tables rondes traitant des sujets d’actualité . Elle sera suivie de deux journées techniques organisées en ateliers thématiques à l’attention des praticiens (associations, administrations, bureaux d’études, développeurs, exploitants…).

Les inscriptions sont ouvertes sur le site : www.eolien-biodiversite.com  ; vos contributions sous forme de présentations techniques en ateliers sont bienvenues. Merci de le signaler lors de votre inscription.

via 2ème séminaire national sur l’énergie éolienne et la protection de la biodiversité – NANTES – 29/30/31 Octobre 2013 – Association Française des Ingénieurs Ecologues.

AFNOR/Génie écologique : Invitation à la réunion d’information du 17 septembre 2013 sur le génie écologique et la normalisation – Association Française des Ingénieurs Ecologues

L’AFNOR organise une réunion d’information sur la thématique « Génie écologique et Normalisation ».

Cette réunion fait suite à la publication, en 2012, de la norme NF X10-900 « Génie écologique – Méthodologie de conduite de projet appliqué à la préservation et au développement des habitats naturels – Zones humides et cours d’eau ».

Cette session d’information se tiendra le mardi 17 septembre 2013 dans les locaux d’AFNOR (11 rue Francis de Préssensé – La Plaine Saint Denis) de 09h45 (accueil café, ouverture de la réunion à 10h00) à 13h.

 

« En Suède, la taxe carbone fait consensus »

Interview – Doit-on se méfier de la future contribution énergie climat, annoncée la semaine passée ? En Suède, le système est rodé et accepté. Explications avec Luis Mundaca, chercheur suédois.

 

Fini les débats sur la taxe carbone, place désormais à la« contribution énergie climat ». Jeudi dernier, le ministre de l’Ecologie Philippe Martin a annoncé un impôt environnemental rebaptisé. Ses contours sont encore flous et de nombreux débats seront menés sur son application concrète.

En Europe, neuf pays et régions ont déjà adopté ce type de fiscalité. La Suède, elle, a franchi le pas dès 1991(dossier en pdf). Les prix des combustibles fossiles dans l’industrie, pour le chauffage résidentiel et les transports, se sont alors alourdis proportionnellement à leur implication dans la pollution atmosphérique.

Quinze ans plus tard, la ministre des Finances suédoise se félicitait du résultat. « Les émissions de CO2 ont diminué de 9% alors que la Suède a connu une croissance économique de 48% », rapportait en 2009 Actu-environnement. Les années suivantes, la taxe – à sa création, fixée à 27 euros la tonne – a encore grimpé, mais l’enthousiasme n’est pas retombé. Le chercheur suédoisLuis Mundaca, chef du département énergie et climat de l’université de Lund, détaille les raisons du succès.

Terra eco : La taxe carbone a t-elle fait baisser les émissions de gaz à effet de serre ?

Luis Mundaca : C’est évident. Pour le seul CO2 provenant de la combustion de carburant, les émissions ont diminué de plus de 15% entre 1990 et 2010. Bien sûr, l’intégralité de cette baisse ne peut pas être attribuée à la taxe carbone, d’autres mesures prises par le gouvernement suédois pour lutter contre les émissions de gaz a effet de serre ont joué. Mais le procédé a pesé. D’une part, il a eu un effet dissuasif. Par exemple, aujourd’hui, quasiment plus personne ne se chauffe au fioul, ce qui a un impact considérable dans un pays nordique. Dans ce secteur, les bioénergies ont remplacé le gasoil et le charbon. Et puis même si le transport en général a été peu affecté par cette taxe, les ventes de voitures roulant à l’éthanol – non taxé – ont explosé. D’autre part, cette taxe a contribué à l’émergence d’un système incitatif pour améliorer l’efficacité énergétique. En 2011, la taxe carbone a rapporté à l’Etat 70 milliards de couronnes suédoises (8 milliards d’euros), c’est 10% des recettes de l’Etat. Cette somme alimente le budget général mais est aussi reversée sous forme de subventions. Par exemple, quand un particulier réalise des travaux d’isolation, 50% du coût de la main-d’œuvre est pris en charge par l’Etat. Un vaste plan de rénovation des fenêtres a également été lancé. Lui aussi est largement subventionné.

La mesure a-t-elle ralenti l’économie du pays ?

Au contraire…

Lire la suite sur “Terra Eco”

 

SRCAE : premier bilan de l’expérimentation

L’administration dresse un bilan qualitatif des schémas régionaux climat air énergie. L’objectif est de tirer les leçons de cette première expérience en vue d’améliorer la deuxième génération, qui pourrait être au cœur de la transition énergétique.

26 11:30:14/08/2013 –
Lire l’actu

© Actu-Environnement

“Re-powering” éolien : ça commence…

eole3Nos voisins suisses assistent, depuis juin, au “repowering” de la centrale éolienne Juvent SA, c’est-à-dire le remplacement de quatre éoliennes de type V44/V47 (datant d’une 20aine d’années, 0,6 MW) par des turbines modernes beaucoup plus performantes de type V90 (2 MW).

Les anciennes turbines sont démontées avec soin pour être réutilisées sur d’autres site de production.

Les nouvelles, pour des raisons techniques (éloignement, sillage…) ne pourront pas prendre la place exacte des anciennes, les fondations seront adaptées au nouveau modèle.

Coûtant près de 17 millions de Francs Suisse, ce changement de machine permettra d’augmenter de 40 % la production de la centrale, qui comprend 16 éoliennes, passant de 40 à plus de 55 millions de kilowattheures.

Insee – Territoire – Les Fiches cantons de Haute-Normandie

Les cantons de Haute-Normandie en 2 clics !

L’Insee met à disposition une page de tableaux statistiques extraits des derniers résultats du recensement de la population 2010 : la population par âge, le logement, l’activité, la formation, etc…

Ces tableaux sont disponibles pour tous les cantons de la région y compris les cantons des grandes villes composés d’une portion infra-communale. Les limites territoriales sont celles au 1er janvier 2012.

via Insee – Territoire – Les Fiches cantons de Haute-Normandie.

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