20 propositions pour soutenir la RSE

Assainissement : la révision de l'arrêté de 2007 en consultationUn rapport présentant 20 propositions pour renforcer la démarche de Responsabilité sociale des entreprises (RSE), des organisations et des administrations publiques a été remis le 13 juin 2013 à quatre ministres.

Ce rapport avait été demandé à Lydia Brovelli, Eric Molinié et Xavier Drago en février 2013, suite à la conférence sociale de juillet 2012, par la ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, ainsi que les ministres de l’Economie et des Finances, du Travail et de l’Emploi et du Commerce extérieur.

Les 20 propositions du rapport sont organisées autour de 4 axes de progrès :

  • Développer une culture de performance globale ;
  • Améliorer la fiabilité des informations extra-financières ;
  • Favoriser l’investissement responsable ;
  • Positionner la France à l’international en matière de RSE.

Ce rapport est le fruit de plusieurs mois de travail, d’analyse et de plus de 200 auditions de personnes issues du monde de l’administration, des organisations syndicales, du monde académique et de l’expertise, des opérateurs financiers, des ONG et d’organismes internationaux.

via 20 propositions pour soutenir la Responsabilité sociale des entreprises – Ministère du Développement durable.

“Eclairer pour rien la nuit” pourrait bientôt coûter cher !

A partir du 1er juillet, les bureaux, commerces et bâtiments sont invités à éteindre les éclairages inutiles la nuit de 1h à 7h du matin, une mesure qui  économiserait l’équivalent de la consommation annuelle d’électricité de 750.000 ménages.

Cette initiative permettrait de rejeter l’émission de 250.000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère et de réaliser une économie de 200 millions d’euros. Elle contribuerait aussi à la préservation de la biodiversité en évitant des pollutions lumineuses inutiles.

La suite sur :

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“Eclairer pour rien la nuit” pourrait bientôt coûter cher ! > Electricité – Enerzine.com.

Outils de sensibilisation à l’acceptation de la flore spontanée

La connaissance des représentations que se font les citadins des plantes sauvages est un enjeu pour comprendre les déterminants de l’acceptation et du rejet de la flore spontanée en milieu urbain.  C’est dans cette optique que Plante&Cité a coordonné le projet Acceptaflore, financé dans le cadre du plan Ecophyto en 2010 et 2011, pour étudier l’effet de plusieurs variables spatiales (situation biogéographique, taille de la commune, type de station…) et socio-économiques (appartenance socioprofessionnelle, diplôme, âge, sexe…) sur la façon dont est perçue la flore spontanée.

Pour avoir la liste de ces outils, consultez : Outils de sensibilisation à l’acceptation de la flore spontanée / Présentation – Ecophyto Pro en zones non agricoles.

Un nouvel article sur le blog des TVB Picardie

Pour le lire, c’est ICI.

Circulaire du 15 mai 2013 relative au protocole d’adhésion au système d’information sur la nature et les paysages

Le système d’information sur la nature et les paysage a pour objet le recensement, la standardisation et la diffusion des données géolocalisées et numérisées sur la nature (bio et géodiversité) et les paysages. Il est conçu selon un mode partenarial, collaboratif et décentralisé.

Cette circulaire a pour objet la publication et la mise en œuvre du protocole du SINP qui définit les conditions d’adhésion à ce dispositif, organise les réseaux d’acteurs et précise les engagements de l’Etat et des adhérents.

Pour lire la circulaire, c’est ICI.

Les actes du colloque Bimby 2012 sont en ligne !

Les actes du colloque Bimby 2012, qui s’est tenu en septembre dernier à l’Ecole d’Architecture de Paris Belleville sont en ligne !

  • plus de 600 participants,
  • 70 intervenants,
  • 40 ateliers d’approfondissement et nouveaux regards sur la ville

Tous les contenus présentés, ainsi que les échanges qu’ils ont suscités, vous sont ici restitués dans leur intégralité sous la forme de comptes-rendus, de retranscriptions, de synthèses et de vidéos micro-trottoirs…

via

Les actes du colloque Bimby 2012 sont en ligne ! | Bimby » Build In My BackYard.

Enquêtes publiques : la procédure de modification du rapport du Commissaire enquêteur

La jurisprudence administrative offre plusieurs exemples d’annulations d’autorisations administratives au motif d’une irrégularité du rapport du Commissaire enquêteur. Il existe pourtant un moyen de prévenir ce risque. Les dispositions de l’article R.123-20 du code de l’environnement sont cependant (très) mal connues des pétitionnaires. L’audit juridique du rapport du Commissaire enquêteur est un des moyens indispensables pour accroître la sécurité juridique des dossiers.

Il arrive qu’une autorisation administrative soit annulée par le Juge administratif, au motif qu’elle intervient au terme d’une procédure irrégulière. Le vice de procédure est la cause de l’autorisation ainsi délivrée.

Ce vice de procédure peut notamment procéder d’une insuffisance du rapport rédigé par le Commissaire enquêteur après la clôture de l’enquête publique. La jurisprudence offre plusieurs exemples d’annulations d’autorisations administratives au motif de l’irrégularité du Commissaire enquêteur.

Jusqu’à présent, les pétitionnaires ne pouvaient pas réellement – du moins officiellement – intervenir lorsque le rapport du Commissaire enquêteur présentait des insuffisances caractérisées. L’autorisation demandée pouvait pourtant être remise en cause de ce seul fait, d’où un sentiment d’impuissance et d’injustice lorsque le juge annulait ladite autorisation, parfois des années plus tard.

La réforme des enquêtes publiques réalisée au lendemain du Grenelle de l’environnement et à partir de la loi Grenelle 2 du 12 juillet 2010 offre cependant plusieurs possibilités aux pétitionnaires pour accroître la sécurité juridique de leurs projets, soumis à la participation du public.

Il convient ainsi de citer les dispositions de l’article R.123-20 du code de l’environnement, telles que modifiées par l’article 3 du décret n°2011-2018 du 29 décembre 2011.

“A la réception des conclusions du commissaire enquêteur ou de la commission d’enquête, l’autorité compétente pour organiser l’enquête, lorsqu’elle constate une insuffisance ou un défaut de motivation de ces conclusions susceptible de constituer une irrégularité dans la procédure, peut en informer le président du tribunal administratif ou le conseiller délégué par lui dans un délai de quinze jours, par lettre d’observation.

Si l’insuffisance ou le défaut de motivation est avéré, le président du tribunal administratif ou le conseiller qu’il délègue, dispose de quinze jours pour demander au commissaire enquêteur ou à la commission d’enquête de compléter ses conclusions. En l’absence d’intervention de la part du président du tribunal administratif ou du conseiller qu’il délègue dans ce délai de quinze jours, la demande est réputée rejetée. La décision du président du tribunal administratif ou du conseiller qu’il délègue n’est pas susceptible de recours.

Dans un délai de quinze jours à compter de la réception des conclusions du commissaire enquêteur ou de la commission d’enquête, le président du tribunal administratif ou le conseiller qu’il délègue peut également intervenir de sa propre initiative auprès de son auteur pour qu’il les complète, lorsqu’il constate une insuffisance ou un défaut de motivation de ces conclusions susceptible de constituer une irrégularité dans la procédure.

Le commissaire enquêteur ou la commission d’enquête est tenu de remettre ses conclusions complétées à l’autorité compétente pour organiser l’enquête et au président du tribunal administratif dans un délai d’un mois.” (je souligne).

Ainsi, il convient de noter que deux personnes sont en droit d’engager une demande de modification des conclusions du Commissaire enquêteur lorsque “l’insuffisance ou le défaut de motivation est avéré”. Il s’agit :

  •  d’une part de l’autorité compétente pour organiser l’enquête publique
  • d’autre part, du président du tribunal administratif ou le conseiller délégué.

Certes, la procédure de modification du rapport du Commissaire enquêteur ne peut être engagée directement par le pétitionnaire, demandeur de l’autorisation objet de l’enquête publique.

Toutefois, il est bien évident que, dans la pratique, le pétitionnaire est intéressé à la prévention des risques de vices de procédure. Il doit donc

  • d’une part, procéder dans un délai très court à un audit juridique du rapport du Commissaire enquêteur pour identifier les risques d’insuffisance de celui-ci au regard des exigences de la jurisprudence. Au demeurant cet audit doit être anticipé au cours de l’enquête publique elle-même ;
  • d’autre part, alerter immédiatement l’autorité compétente pour engager une procédure de modification du rapport.

De nouveau, il convient d’insister sur la nécessaire ingénierie juridique des projets pour contribuer à leur bonne instruction. Connaître et maîtriser la procédure de l’article R.123-20 en est un exemple.

 

via Enquêtes publiques : la procédure de modification du rapport du Commissaire enquêteur : Arnaud Gossement.

Arrêté du 23 mai 2013 portant modification de l’arrêté du 20 janvier 1982 relatif à la liste des espèces végétales protégées sur l’ensemble du territoire national

Liste des 19 espèces supplémentaires protégées

Arrêté du 23 mai 2013 portant modification de l’arrêté du 20 janvier 1982 relatif à la liste des espèces végétales protégées sur l’ensemble du territoire national | Legifrance.

Les députés adoptent une résolution pour une fiscalité écologique dès 2014

Les députés ont adopté le 4 juin une proposition de résolution présentée par les socialistes en faveur de la mise en place dès le budget 2014 d’une fiscalité écologique pour financer la transition écologique et modifier les comportements des agents économiques. “Ce n’est pas un message pessimiste ou anxiogène que nous voulons transmettre, c’est un message politique fort”, a souligné Jean-Paul Chanteguet, président PS de la commission du développement durable, à l’initiative de ce texte qui n’a toutefois aucune force contraignante. La France se situe aujourd’hui au dernier rang des 27 membres de l’Union européenne en ce qui concerne la fiscalité écologique. En 2010, le montant de la fiscalité “verte” s’est élevé à 36 milliards d’euros, soit 4,4% des prélèvements obligatoires contre une moyenne européenne de 6,2%. L’idée de cette résolution est donc de mettre en place “une fiscalité destinée à économiser l’énergie, lutter contre le changement climatique, réduire les pollutions, préserver la santé, sauvegarder la biodiversité et économiser les espaces ruraux”, a résumé Jean-Paul Chanteguet.

La suite sur : Les députés adoptent une résolution pour une fiscalité écologique dès 2014 – Localtis.info un service Caisse des Dépôts.

Défrichement : une circulaire précise la réglementation applicable

pelouseLa refonte du code forestier, de même que la réforme de l’étude d’impact et de l’enquête publique ont impacté les procédures applicables en matière de défrichement. Une circulaire fait le point.

Une circulaire du ministre de l’Agriculture en date du 28 mai 2013 précise de façon détaillée les règles applicables en matière de défrichement suite à la refonte du code forestier, d’une part, et à la réforme de l’étude d’impact et de l’enquête publique, d’autre part. Elle annule et remplace la circulaire du 11 décembre 2003 jusque-là applicable.

La suite sur :  Défrichement : une circulaire précise la réglementation applicable.

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