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Pour contrer les canicules, l’exécutif promet un demi-milliard afin de végétaliser les villes

Pour contrer les canicules, l’exécutif promet un demi-milliard afin de végétaliser les villes

© Adobe Stock

Au sortir du conseil des ministres, Elisabeth Borne a annoncé plusieurs mesures d’urgence pour faire face à la vague de chaleur qui va toucher la France métropolitaine à partir de ce mercredi. A plus moyen terme, l’Etat veut mettre sur la table 500 millions d’euros pour « renaturer » les villes et créer ainsi des ilots de fraicheur.

« La France va connaître cette semaine une vague de chaleur forte et extrêmement précoce selon Météo France. Les métropoles seront comme à chaque épisode de cette nature plus particulièrement touchées par la perception d’une chaleur intense. » Le constat, relayé par le compte-rendu du conseil des ministres qui s’est tenu ce 14 juin, est connu. Pour faire face à cette canicule précoce, l’exécutif a annoncé mettre en alerte ses relais sur le terrain, « en particulier les préfets et les agences régionales de santé » afin que « les différents dispositifs de mise à l’abri soient opérationnels dès demain » mercredi.

500 millions d’euros pour des ilots de fraicheur urbains

A plus moyen terme, Matignon annonce des mesures structurelles « déployées pour adapter plus rapidement la France aux conséquences du changement climatique » et notamment en milieu urbain dense. Ainsi, un « programme de renaturation des villes va être lancé pour permettre de constituer des canopées urbaines et de végétaliser certaines façades ». « Plusieurs collectivités s’y sont déjà engagées, mais il faut d’évidence accélérer, consent la locataire de Matignon dans son communiqué. Le Gouvernement sera aux côtés de tous les maires qui veulent accélérer la renaturation de quartiers urbains ».

Ce programme doit être doté d’un fonds de 500 millions d’euros afin de « cofinancer ces opérations aux côtés des collectivités locales volontaires ». Le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), l’agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (Ademe) et la Caisse des dépôts seront miss à contribution « pour accompagner les collectivités locales avec des prêts adaptés », précise Matignon.

Des prêts, pas des subventions

« Moins de goudron et plus d’arbres pour limiter les températures » a complété sur son compte twitter la ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, Amélie de Montchalin. Et de confirmer dans la foulée qu’il s’agirait de « prêts adaptés, avec des procédures simplifiées », aux collectivités locales, et non de subventions.

Article original du courrier des maires

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Décarboner les territoires

Pilotée par le Cerema, la série de fiches décarboner les territoires vise à aider les techniciens de collectivités à une meilleure connaissance des techniques de décarbonation des territoires. Elle offre des éléments clés concernant le contenu des technologies, leurs impacts, des exemples de bonnes pratiques et le rôle possible des collectivités.

Fiche n° 01 – La méthanisation agricole

La méthanisation agricole constitue une filière en plein développement, permettant de répondre à de nombreux enjeux, notamment sur le plan de la lutte contre le changement climatique et de l’autonomie budgétaire des agriculteurs. La programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) prévoit ainsi une production entre 24 et 32 TWh par an de biométhane/biogaz en 2028.
Cette fiche précise ce que sont la méthanisation agricole et les voies de valorisation du biogaz produit et du digestat. Elle donne également des clés sur les bonnes pratiques environnementales, ainsi que sur le rôle des collectivités locales. Illustrée de retours d’expériences, cette fiche doit permettre aux techniciens d’identifier des pistes d’actions dans leurs territoires.

 

Pour avoir accès à cette fiche et aux autres de la collection, c’est sur le site du CEREMA

Risque de submersion marine en Normandie : des enjeux forts très concentrés spatialement

Les données du graphiques sont disponibles en téléchargement via le lien Données

Une partie importante du territoire normand, s’étendant sur 1 000 km² le long du littoral et dans la vallée de la Seine, est exposée à l’aléa de submersion marine. Les enjeux liés à la présence d’emplois et de population sont très concentrés spatialement. Dans un peu moins de 2 % des zones à enjeux, sur une surface équivalente à 10 km², les risques sont particulièrement importants. En cumulant avec les situations à enjeux modérés et à forte exposition aux faibles élévations du niveau de la mer, il apparaît que 12 % des zones concernées par l’aléa de submersion marine concentrent plus de la moitié des logements et de la population exposés de la région.

 

Pour lire l’intégralité de l’article, c’est sur le site de l’INSEE

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Déterminer les fonctions que remplissent les sols et la multifonctionnalté des sols

Dessins schématisant les fonctions naturelles et anthropiques

Figure 1: Les fonctions des sols | Crédit : Flore Vigneron pour le Cerema

Dans le cadre de la valorisation des résultats du projet de recherche MUSE, cet article présente la démarche permettant de déterminer les fonctions des sols en milieu rural et de réaliser une cartographie de la capacité des sols du territoire à remplir ces fonctions.

 

DÉTERMINER LA MULTIFONCTIONNALITÉ DES SOLS EN MILIEU RURAL

Choix des fonctions des sols retenues dans le projet

L’approche par fonctions écologiques (en vert sur la figure 1), c’est à dire celles permettant à l’écosystème de fonctionner sans prendre en compte les usages qu’en fait l’homme et les enjeux/contraintes liées à ces usages, a été choisie au détriment des fonctions anthropiques (en orange sur la figure 1), jugées trop limitatives car anthropocentrées. Cependant, la distinction entre ces deux notions reste complexe, certaines fonctions qui bénéficient aux écosystèmes bénéficient aussi à l’Homme (exemple : la fonction régulation du cycle de l’eau, la source de biomasse).

De plus, les fonctions dites évolutives dans le temps ou dynamiques (ex : régulation du cycle des nutriments) ont été mises de côté car complexes à appréhender. En effet, les données associées aux Référentiels Régionaux Pédologiques sont « datées » et parfois anciennes. Ainsi, il a été choisi de n’utiliser que les données correspondant aux caractéristiques pérennes des sols.

L’intégralité de l’article sur le site du CEREMA

Eoliennes et immobilier

La question de l’évolution du prix de l’immobilier à proximité des parcs éoliens terrestres se pose de plus en plus à mesure que l’énergie éolienne se développe. Or faute d’étude spécifique en France, les acteurs se réfèrent à des analyses internationales ou à des expertises individuelles potentiellement biaisées ou inadaptées.

L’objectif de cette étude est de produire une analyse de référence exploitable et robuste vis-à-vis des spécificités territoriales en France métropolitaine. Afin de couvrir au mieux le sujet, l’étude inclut un volet quantitatif pour produire des résultats mesurables et reproductibles sur la base de données à la fois fiables et partagées ainsi qu’un volet qualitatif pour mettre en perspective les résultats du volet quantitatif et pour en identifier les limites.

Pour télécharger la publication c’est sur le site de l’ADEME

Cartographie des éoliennes en France, vers un référentiel commun

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Eoliennes présentes dans les bases de données des DREALs

 

Les DREAL (Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement) tiennent à jour les bases de données des éoliennes projetées et construites sur les régions françaises. L’application OREOL (Outil de Référencement des EOLiennes), relative aux Installations classées, devrait permettre de constituer un référentiel national commun incluant notamment l’ensemble des aérogénérateurs.

Objectifs

  • Constituer un référentiel national commun des éoliennes installées et projetées.
  • Mettre en place des outils de mesure et d’analyse afin de construire des indicateurs de suivi sur l’ensemble du territoire français.

Propositions

  • Analyser les bases de données existantes des DREALs, prérequis à la constitution d’un référentiel commun.
  • Construire un script d’automatisation permettant de concaténer en une seule base les données des différentes DREALs.
  • Visualiser les attributs qui permettent de caractériser une éolienne et un parc éolien.

Voir l’intégralité de l’article sur Remap Services

La Commission veut dégager le chemin des énergies renouvelables, désormais prioritaires

Parc éolien, soleil couchant, P. Sauvajon

Dans une nouvelle recommandation visant à accélérer le déploiement des énergies renouvelables, jugé d’intérêt public supérieur, la Commission européenne demande aux États membres de simplifier les procédures administratives, y compris environnementales, de coordonner les différentes autorités, de renforcer les moyens de ces dernières et de dresser la liste – la plus large possible – des sites « propices » aux EnR. Pour favoriser le consentement du public, réticent, il est également préconisé de l’associer davantage aux bénéfices de ces projets.

Annoncée dans le cadre du plan REPowerEU présenté le 18 mai dernier (voir notre article), la recommandation de la Commission visant l’accélération des procédures d’octroi de permis pour les projets dans le domaine des énergies renouvelables (EnR) et la facilitation des accords d’achat d’électricité a été publiée au Journal officiel le 25 mai. La Commission y dénonce une nouvelle fois « la complexité, la diversité et la durée excessive » de ces procédures (voir pour la France le dernier baromètre Observ’ER), considérées comme un « obstacle majeur au déploiement rapide, indispensable » d’EnR jugées essentielles dans la lutte contre les gaz à effet de serre et « pour mettre un terme aux prix élevés de l’énergie ». Une nouvelle fois car la Commission, par des directives de 2009 puis de 2018, avaient déjà imposé des exigences de simplification de ces obstacles identifiés dès la directive de 2001 visant la promotion de l’électricité à partir de sources EnR. La Commission souligne d’ailleurs que la transposition « complète et rapide » de la directive de 2018 « constitue une priorité et une urgence absolues ». Et ce d’autant que ces « obstacles administratifs » ont « gagné en importance du fait de l’aplanissement d’autres obstacles, tels que les coûts technologiques (…) ou les problèmes de financement ».

L’intégralité de l’article sur le site de la banque des territoires

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