Les Nations Unies reconnaissent le droit humain à l’environnement sain

« Habitat insalubre », par JACE

« Habitat insalubre », par JACE

Dans sa résolution 48/13, le Conseil a appelé les États du monde entier à travailler ensemble, et avec d’autres partenaires, pour mettre en œuvre ce droit nouvellement reconnu.

Le texte, proposé par le Costa Rica, les Maldives, le Maroc, la Slovénie et la Suisse, a été adopté par 43 voix pour et 4 abstentions – de la Russie, de l’Inde, de la Chine et du Japon.

Dans le même temps, par le biais d’une deuxième résolution (48/14), le Conseil a également renforcé son attention sur les impacts du changement climatique sur les droits de l’homme en créant un Rapporteur spécial spécifiquement dédié à cette question.

Pour rappel, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 24 % de tous les décès dans le monde, soit environ 13,7 millions de décès par an, sont liés à l’environnement, en raison de risques tels que la pollution atmosphérique et l’exposition aux produits chimiques.

Les premiers retours de l’étude ZEBU (Zone d’expansion des crues et biodiversité urbaine)

Dans le cadre de son cycle de conférences à destination du grand public, l’ARB Île-de-France vous invite en ligne Jeudi 14 octobre de 18h à 19h30 à découvrir les premiers résultats de l’étude ZEBU lancée sur la zone d’expansion des crues de Gonesse en 2020.

Jeudi 14 octobre

De 18 h à 19 h 30 en visioconférence

S’inscrire à la conférence

Conférence animée par Hemminki Johan, ARB îdF avec la participation d’Eric Chanal, SIAH-Croult et Pierre Rivallin, Ecolo Gie.

Une agriculture biologique pour nourrir l’Europe en 2050

L’alimentation est devenue l’un des enjeux majeurs du XXIe siècle. Selon une étude menée par des scientifiques du CNRS1, un système agro-alimentaire biologique et durable, respectueux de la biodiversité, pourrait être mis en place en Europe et permettrait une cohabitation équilibrée entre agriculture et environnement. Le scénario envisagé repose sur trois leviers. Le premier impliquerait un changement de régime alimentaire, avec une consommation moindre de produits animaux, ce qui permettrait de limiter l’élevage hors sol et de supprimer les importations d’aliments pour le bétail. Le deuxième levier propose l’application des principes de l’agro-écologie, avec la généralisation de rotations de cultures2 longues et diversifiées intégrant des légumineuses fixatrices d’azote, ce qui permettrait de se passer des engrais azotés de synthèse comme des pesticides. Le dernier levier consisterait à rapprocher culture et élevage, souvent déconnectés et concentrés dans des régions ultra-spécialisées, pour un recyclage optimal des déjections animales. Selon ce scénario, il serait donc possible de renforcer l’autonomie de l’Europe, de nourrir la population attendue en 2050, d’exporter encore des céréales vers les pays qui en ont besoin pour l’alimentation humaine, et surtout de diminuer largement la pollution des eaux et les émissions de gaz à effet de serre par l’agriculture. Cette étude est publiée dans One Earth le 18 juin 2021.

Lire l’intégralité de l’article sur le site du CNRS

Comment les Français se déplacent-ils en 2019 ?

Selon les premiers résultats de l’enquête sur la mobilité des personnes, en 2019, les Français réalisent environ trois déplacements par jour, du lundi au vendredi. Cela représente près de 181 millions de déplacements quotidiens.
En moyenne, ils passent 1h02 à se déplacer en une journée, soit presque 6 minutes de plus qu’en 2008. Cette hausse s’explique par des déplacements un peu plus longs et par une légère modification des choix des modes de transport utilisés.

Combien de temps les Français passent-ils à se déplacer chaque jour, en semaine ? Le SDES publie les tous premiers résultats d’une large enquête statistique menée auprès des Français en 2018-2019. Ces informations, uniques, fournissent une multitude de détails sur les  déplacements des Français : les temps passés dans les transports, les évolutions concernant les modes de transport principalement utilisés, l’utilisation des modes de transport selon l’âge, le lieu de résidence, le genre…

Toutes les réponses à ces questions en vidéo et en graphiques sur le site du Ministère

Quelles réponses économiques face au déclin de la biodiversité ? La dépense nationale de protection de la biodiversité et des paysages

En 2018, 2,4 milliards d’euros ont été consacrés à la protection de la biodiversité et des paysages sur le territoire national. Cette dépense se répartit, à parts sensiblement égales, entre le développement des aires protégées, la réduction des pressions sur les milieux naturels, la protection du patrimoine naturel et la réhabilitation des milieux aquatiques. Le financement de la protection de la biodiversité en France provient essentiellement de la sphère publique (État, y compris les agences de l’eau, et les collectivités locales).

Pour lire l’intégralité de l’étude, c’est sur le site du Ministère

Eolien : Barbara Pompili présente de nouvelles mesures pour un développement « maîtrisé et responsable » de la filière

A l’issue d’une rencontre avec les représentants de la filière ce 5 octobre, la ministre de la Transition écologique a présenté de nouvelles mesures pour favoriser l’essor « maîtrisé » des parcs éoliens, dont le déploiement est jugé nécessaire pour tenir les objectifs énergétiques et climatiques de la France. Pour apaiser les tensions sur certains projets, une fonction de « médiateur » de l’éolien va être créée. Le rôle des élus locaux doit aussi être renforcé avec l’entrée en application de plusieurs mesures prévues par la loi Climat et Résilience.

Lire l’intégralité de l’article sur le site de la Banque des Territoires

Décret n° 2021-1220 du 23 septembre 2021 modifiant le décret n° 2016-691 définissant les listes et les caractéristiques des installations mentionnées aux articles L. 314-1, L. 314-2, L. 314-18, L. 314-19 et L. 314-21 du code de l’énergie

Publics concernés : exploitants d’installations produisant de l’électricité à partir d’énergie solaire photovoltaïque.
Objet : définition de l’achèvement d’une installation photovoltaïque.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret modifie la définition de l’achèvement d’une installation photovoltaïque dans le cadre des dispositions transitoires introduites par le décret n° 2016-691 du 28 mai 2016 définissant les listes et les caractéristiques des installations mentionnées aux articles L. 314-1L. 314-2L. 314-18L. 314-19 et L. 314-21 du code de l’énergie.

Consulter le décret sur Legifrance

Les énergies renouvelables en France en 2020

 

 

 

 

 

Part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en France en 2020 : 19,1 %

Évolution des énergies renouvelables de 1990 à 2020 en France métropolitaine : + 84 %

Répartition de la consommation d’énergie primaire issue de sources renouvelables en France en 2020 par énergie

  • Bois-énergie : 32,9 %
  • Hydraulique : 18,7 %
  • Éolien : 12,3 %
  • Biocarburants : 10,3 %
  • Pompes à chaleur : 9,8 %
  • Déchets renouvelables : 4,3 %
  • Solaire photovoltaïque : 4,1 %
  • Biogaz : 3,9 %
  • Autres (géothermie, résidus de l’agriculture, solaire thermique, énergies marines) : 3,6 %

 

Pour consulter tous les chiffres, c’est sur le site des statistiques du Ministère

Une nouvelle recrue !

Enviroscop est heureuse de vous annoncer le recrutement de :

  • notre première Mathilde
  • notre première alternante
  • notre première salariée dédiée à la gestion, la RH, la vie coopérative
  • notre première coopératrice née au XXIe siècle

 

 

 

Mathilde prépare une Licence Professionnelle Gestion des Organisations de l’Economie Sociale et Solidaire, et ça tombe bien puisqu’on en est une. On va pouvoir efficacement préparer notre dossier ESUS !

#alternance #ESS #coop #cap70000 #emploi

Bilan 2018 de la production de déchets en France

Tous les deux ans, la France, conformément à la réglementation européenne, présente un bilan de la production de déchets et de leurs traitements. En 2018, 343 millions de tonnes de déchets ont été produites, soit une augmentation de 6,4 % par rapport à 2016. Les déchets minéraux représentent près de 69 % des tonnages, les autres déchets non dangereux, 28 %, et les déchets dangereux, 3 %.

Evolution de la production de déchets entre 2016 et 2018, Source : DATALAB 2021

343 millions de tonnes (Mt) de déchets ont été produites en France en 2018, soit une augmentation de 6,4 % par rapport à 2016. Cette évolution est principalement imputable au secteur de la construction (+ 7,1 %), ce dernier étant à l’origine de 70 % des déchets.

Pour en savoir plus, téléchargez la note du Ministère par le DataLab

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