Ils travaillaient ensemble, ils ne feront plus qu’un

Les ports de Paris, Rouen et le Havre fusionnent.

L’établissement public de l’Etat nouveau résultant de la fusion du port autonome de Paris, de l’établissement public du grand port maritime du Havre et de l’établissement public du grand port maritime de Rouen se substitue à ces ports de plein droit dans toutes leurs délibérations et tous leurs actes ainsi que dans l’ensemble de leurs biens, droits, obligations, contrats et conventions liés à leurs missions et à leurs activités ainsi qu’à leur gestion.
Les établissements publics du port autonome de Paris, du grand port maritime du Havre et du grand port maritime de Rouen, ainsi que le groupement d’intérêt économique HAROPA, sont dissous de plein de droit.

Pour lire l’ordonnance, c’est ICI

PROBOIS : le hêtre normand, premier feuillu pour la construction bois par l’axe-Seine

PROBOIS est un projet partenarial mené dans le cadre du Contrat de Plan Interrégional État-Régions Vallée de la Seine (2015-2020), impliquant les Régions Normandie et Île-de-France. Il répond à un double besoin :

-Valoriser le hêtre normand par de nouvelles solutions constructives
-Développer la voie fluviale entre la Normandie et l’Île-de-France

Les premières étapes de ce projet ont déjà été menées avec succès, et la prochaine phase e va bientôt débuter.

Téléchargez la brochure idoine pour en apprendre plus sur ce projet :

Pour tout connaître sur ce projet intégré, téléchargez le FLYER Probois

Fête de la nature

C’est la 15ème édition de la Fête de la nature. Plus de mille activités sont proposées dans l’ensemble des régions françaises. À cette occasion, notre-environnement vous invite à découvrir ses pages thématiques dédiées à la biodiversité.

RTE : précisions sur les bilans CO2

Depuis 2017, RTE a publié, dans le cadre du Bilan prévisionnel et des études qui lui sont associées,
de nombreux éléments sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre (GES) associées à la
production d’électricité. Ces études ont montré :

  • que le développement des énergies renouvelables en France avait un effet baissier sur les
    émissions de CO2 en France et en Europe ;
  • que les scénarios de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), ou les scénarios de
    type Volt et Ampère, conduisaient à faire diminuer encore les émissions de CO2.

Ces résultats peuvent parfois susciter l’incompréhension de certains commentateurs, qui interprètent les transformations du secteur électrique selon un unique prisme, celui d’une concurrence entre le nucléaire et les énergies renouvelables au niveau de la France.

Les conclusions sont simples : aujourd’hui, l’énergie éolienne et l’énergie solaire se déploient donc  essentiellement en addition au potentiel de production nucléaire et hydraulique. En conséquence,  l’augmentation de la production éolienne et solaire en France se traduit par une réduction de l’utilisation des
moyens de production thermiques…

Pour obtenir une évaluation des émissions évitées grâce à la production éolienne et solaire, RTE a simulé ce que serait le fonctionnement du système électrique actuel sans ces installations. Cette étude, restituée dans le rapport technique du Bilan prévisionnel 2019, chiffre les émissions évitées à environ 22 millions de tonnes de CO2 par an (5 millions de tonnes en France et 17 millions de tonnes dans les pays voisins).

Pour télécharger la note, c’est ICI

Bretagne : appel à manifestation d’intérêt sur l’usage des matériaux de construction biosourcés

Bretagne : appel à manifestation d’intérêt sur l’usage des matériaux de construction biosourcés

Crédit : Pixabay

La première session de l’appel à manifestation d’intérêt portant sur la construction neuve est lancée jusqu’au 30 septembre 2021. Objectif : diffuser plus largement l’intérêt des matériaux biosourcés pour une construction plus durable.

Pour soutenir le développement de l’usage des éco-matériaux dans le secteur de la construction, l’État, l’Ademe et la Région Bretagne lancent un appel à manifestation d’intérêt (AMI) sur la thématique « Construire avec les matériaux biosourcés et la terre crue ». Coordonné par la Fédération Bretonne des Filières Biosourcées, cet AMI a pour objectif de proposer aux collectivités territoriales bretonnes de dédier des fonciers et des immobiliers publics à la construction de projets valorisant les solutions à base de biosourcés et de terre crue.

Il propose un accompagnement gratuit aux maîtrises d’ouvrage publiques porteuses d’un projet de construction neuve ou d’extension de bâtiment, avec une part significative de matériaux biosourcés (y compris la terre crue). Il a pour ambition de s’appuyer sur l’expérience qui aura été acquise par les maîtres d’ouvrages retenus pour diffuser plus largement l’intérêt des matériaux biosourcés et de pérenniser la dynamique régionale existante et d’accompagner une montée en compétences des professionnels du territoire breton.

Lire l’intégralité de l’article sur le site de l’environnement

Comment choisir les arbres et plantes adaptés dans l’espace urbain ?

Vue d'un trottoir rue Garibaldi à Lyon, avec une rangée d'arbustes d'un coté et des arbres de l'autreLa présence de végétation en ville apporte de nombreux services, mais comment sélectionner les espèces d’arbres et d’arbustes les plus adaptés au climat d’aujourd’hui et de demain, au contexte et au besoin de la collectivité ? Avec la ville de Metz, le Cerema a développé un outil d’aide à la décision, Sésame (Services EcoSystémiques rendus par les Arbres, Modulés selon l’Essence), qui est en cours de déploiement dans de nouveaux territoires.

Sésame (Services EcoSystémiques rendus par les Arbres, Modulés selon l’Essence), dont l’objectif est d’accompagner la décision en matière de chois des espèces d’arbres et d’arbustes adaptés au milieu urbain, a été dans un premier temps conçu pour la région de Metz. Il est en cours d’adaptation à d’autres territoires, dont les besoins peuvent être différents.

Pour lire l’article sur le site du CEREMA

Typologie des centralités françaises

Le centre-ville a été, depuis l’apparition du fait urbain, le cœur de l’activité humaine pendant des milliers d’années. Il a connu de nombreuses périodes d’essor mais aussi de déclin au rythme des grands processus historiques économiques, culturels et sociaux. Depuis les années 70, le centre-ville a semblé entrer dans une période de déclin. Victime de l’étalement urbain et du délitement des structures sociales traditionnelles, il s’est fragilisé. Ce phénomène inégal a plus particulièrement touché les petites centralités et les « villes moyennes ». Pourtant, depuis une dizaine d’années, de nouveaux processus sont à l’œuvre. La fin de l’ère des hydrocarbures et l’aspiration de certains groupes sociaux à un modèle de société « post industriel » centré sur des relations de proximité redonnent une pertinence toute nouvelle à cet espace.

De nombreux élus ont pris conscience de ces mutations et orientent désormais leurs choix vers la protection et la redynamisation de leur centre-ville afin d’en faire un atout pour leur commune. C’est également dans ce sens que des programmes nationaux d’aménagement du territoire ont vu le jour, à l’instar d’Action Cœur de ville ou de Petites villes de demain.

Les acteurs publics manquent cependant encore d’outils pour appréhender un espace aussi complexe que le centre-ville. Il n’existe par exemple pas de référentiel national pour servir de base de comparaison entre différentes communes. L’ambition de cet projet d’observation des centres villes est de fournir un outil de comparaison multithématique capable d’aider les acteurs des centres villes dans l’auto-diagnostique de leur centre et faciliter leurs prises de décision.

Pour lire l’intégralité de l’article et voir les posters, c’est sur le site de la FNAU

Aires protégées : 7 nouveaux sites français sur la liste verte mondiale de l’UICN

Avec 22 sites inscrits sur la « Liste verte des aires protégées » de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la France est le pays qui compte le plus grand nombre d’espaces protégés labellisés.

Lancée en 2014 à l’occasion du Congrès mondial des parcs, la « Liste verte des aires protégées » est un label attribué par l’UICN visant à récompenser la qualité de gestion et de gouvernance des sites. Elle s’appuie sur 17 critères dans 4 domaines différents : bonne gouvernance du lieu, conception et planification solides, gestion efficace, résultats obtenus pour la conservation de la nature.
Les 59 espaces labellisés se répartissent dans 16 pays. En avril 2021, sept nouveaux espaces protégés français ont rejoint cette liste :

  • La réserve de la Coloraie du volcan à La Réunion ;
  • La réserve naturelle nationale des Contamines-Montjoie (Haute-Savoie) ;
  • Les marais des basses vallées de l’Essonne et de la Juine (Ile-de-France) ;
  • Le domaine de la Tour du Valat (Bouches-du-Rhône) ;
  • La réserve naturelle nationale de la Sainte-Victoire (Bouches-du-Rhône) ;
  • Les réserves naturelles nationales du Haut-Giffre et des Aiguilles Rouges (Savoie) ;
  • Le site Natura 2000 Bassin du Drugeon (Jura).

Les 22 sites français sous label « liste verte » témoignent de la grande diversité des espaces protégés : parcs nationaux (Guadeloupe, Pyrénées…), réserves naturelles (Terres Australes françaises, île du Grand Connétable…), espaces naturels sensibles (marais d’Episy), parcs naturels marins (Iroise, Côte bleue…), réserves biologiques (Bois du Loch…), ou encore réserves nationales de chasse et de faune sauvage (Donzère-Mondragon).

Les obligations réelles environnementales, un outil encore très virtuel, notamment pour les collectivités

Introduit en 2018, le mécanisme d’obligations réelles environnementales tarde à percer, justifiant pour le gouvernement la remise tardive du rapport qu’il devait au Parlement sur la mise en œuvre de ce dispositif. Ce rapport était également tenu de présenter des moyens pour renforcer l’attractivité, notamment fiscale, de cet outil mais il se révèle in fine peu disert en la matière, en dépit des besoins.

C’est avec près de trois ans de retard que le gouvernement a officiellement remis au Parlement, le 29 mars dernier, le rapport sur la mise en œuvre du mécanisme d’obligations réelles environnementales (ORE) et les moyens d’en renforcer l’attractivité, « notamment au moyen de dispositifs fiscaux incitatifs ». Un rapport prévu par l’article 73 de la loi Biodiversité du 8 août 2016 – loi dont le Cese a naguère dénoncé la mise en œuvre « très lacunaire ».

Lire l’article sur le site de la Banque des Territoires

La filière photovoltaïque témoigne de son « parcours du combattant »

Mix électrique 2020

Le think tank France Territoire Solaire souligne, dans une étude mise en ligne le 5 mai(1), les lourdeurs administratives qui ralentissent le développement du solaire photovoltaïque en France.

Lisez ces explications sur le site Connaissance des énergies

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