Simplification de la procédure d’autorisation environnementale

Décret n° 2019-1352 du 12 décembre 2019 portant diverses dispositions de simplification de la procédure d’autorisation environnementale

Publics concernés : services de l’Etat, professionnels, particuliers, maîtres d’ouvrage, associations, bureaux d’études.
Objet : simplification de la procédure d’autorisation environnementale.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur au lendemain de sa publication ; toutefois, les dispositions du I et du II de l’article 8 s’appliquent aux demandes d’autorisation environnementale ou de dérogation présentées à compter du 1er janvier 2020 .
Notice : l’ordonnance n° 2017-80 du 26 janvier 2017 et le décret n° 2017-81 du 26 janvier 2017 relatifs à l’autorisation environnementale ont inscrit dans le code de l’environnement un dispositif d’autorisation environnementale unique. Le présent décret vise à simplifier le dispositif de l’autorisation environnementale au niveau réglementaire. A cette fin, il transforme notamment certaines consultations obligatoires en consultations facultatives, fluidifie la fin de la procédure d’autorisation environnementale et prévoit des possibilités de dématérialisation du dossier de demande d’autorisation environnementale. Enfin, il corrige diverses imperfections et erreurs matérielles.
Références : le code de l’environnement modifié par le présent décret peut être consulté, dans sa rédaction issue de cette modification, sur le site de Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).

L’intégralité du texte du décret sur le site de Légifrance

 

Le dépôt des dossiers ICPE et IOTA de manière dématérialisée devrait être accessible depuis le site service-public.fr

AD’AU : outil d’assistance aux demandes d’autorisation d’urbanisme

L’objectif de ce nouvel outil récemment mis en ligne et de permettre de déposer un dossier de demande d’autorisation d’urbanisme (permis de construire, permis d’aménager, de démolir…

Selon le Ministère,  « cette démarche réduit les rejets de dossier, de contentieux et toute autre difficulté liée à une demande d’autorisation d’urbanisme ».

Cet outil participe de la dématérialisation des procédures exigée par l’Etat. Pour rappel, à partir du 1er janvier 2022, toutes les communes de plus de 3 500 habitants devront recevoir et instruire par voie dématérialisée les demandes de permis de construire, déclarations préalables et certificats d’urbanisme.

Pour accéder à la plateforme, c’est ICI

Conseils de défense écologique des 27 novembre et 08 décembre 2020

Le Conseil de défense écologique s’est réuni à deux reprises autour du Président de la République. Lors du conseil du 27 novembre, le Haut Conseil pour le Climat a été auditionné à propos de ses dernières publications. Quatre premières lettres de mission climat ministérielles ont été présentées lors de ce Conseil de défense écologique. Au cours du Conseil de défense écologique du 8 décembre, des mesures pour le développement harmonieux de l’éolien terrestre ont été actées.

Quelle est la « valeur » d’un arbre ?

Sans pour autant donner un « droit à détruire », cet outil, pour les techniciens, comme pour les élus en charges des projets d’aménagement semble prometteur pour la gestion des individus (et des groupements d’individus) de nos communes !

 

VIE (Valeur Intégrale Evaluée de l’arbre) permet l’évaluation de la valeur d’un arbre, exprimée en euros. Elle est utilisée pour mieux connaître l’arbre évalué, sensibiliser à sa présence, éviter les altérations, et sanctionner en cas de dégradation.

Quel que soit l’avancement de la politique de l’arbre locale, VIE et BED sont de bons outils pour les services de la collectivité :

  • VIE pour évaluer la valeur des arbres, mieux les connaître, et déterminer les périmètres de préservation et de protection en cas de projet et au cours des travaux.
  • BED pour évaluer l’ampleur du préjudice subi lors d’une dégradation accidentelle ou volontaire de l’arbre, calculer le montant du dommage à réclamer à l’auteur des dégâts, et produire les éléments supports des éventuelles démarches associées.

Une fois adoptés par délibération, VIE et BED ont valeur officielle et peuvent être intégrés dans un règlement de voirie, les cahiers des charges des contrats de travaux, une charte de l’arbre, communiqués aux habitants, etc. La Documentation comporte une délibération-type pour intégrer VIE et BED aux outils déjà en usage dans la collectivité.

Pour tester (ou utiliser l’outil), c’est ICI

Revoir la 9e téléconférence TEPOS en actions : « Comment mieux maîtriser les projets d’énergie renouvelable sur son territoire ? »

Le processus de transition énergétique s’inscrit aujourd’hui dans un marché mondial, dans lequel les intérêts du territoire d’implantation sont plus ou moins bien pris en compte. Pourtant, la production d’énergie devient une ressource à enjeu dont les collectivités ont vocation à capter au mieux les retombées, dans leurs dimensions aussi bien économiques et financières, que sociales ou environnementales. Ce webséminaire s’adresse aux élus et techniciens des collectivités qui souhaitent se lancer dans l’aventure d’un projet d’énergie renouvelable.

Pour accéder au Webséminaire, c’est ICI (site du CLER)

Amorce publie trois guides pour les nouveaux élus locaux : déchets, énergie, eau

Amorce publie trois guides avec l’Ademe, la Banque des Territoires et les agences de l’eau.

Le premier guide, élaboré avec l’Ademe et s’adressant aux élus chargés de la gestion des déchets ménagers, vise à les aider à déployer une « stratégie de transition écologique » à partir de cette « compétence ancienne des collectivités ».

Pour le télécharger, c’est ICI

 

 

Le deuxième guide, élaboré avec la Banque des Territoires à partir de retours d’expérience de collectivités, se veut aussi une boîte à outils pour aborder ce mandat « décisif pour la transition énergétique dans les territoires ». Il revient sur l’enjeu d’appropriation par les élus, les phénomènes d’opposition à l’éolien ou à la méthanisation, l’élargissement des possibilités d’implication des collectivités dans le développement des énergies renouvelables, la lutte contre la précarité énergétique et classe dans un tableau ces champs d’action et compétences obligatoires ou facultatives selon les niveaux de collectivités.

Pour le télécharger, c’est ICI

Le troisième guide réalisé avec la Banque des Territoires et les agences de l’eau, traite de la gestion de l’eau, face à de nouveaux défis, qui doit “se réinventer et devenir un vrai projet politique territorial, construit par les élus avec les populations, les acteurs locaux et en infusant les autres politiques publiques ».

Pour le télécharger, c’est ICI.

 

Source : Banque des Territoires

Un référentiel commun pour la filière du paysage

Fascicule 35De quoi parle-t-on ?

Le cahier des clauses techniques générales (CCTG) de travaux de génie civil permet d’imposer des dispositions techniques à toutes les prestations d’une même nature. Il est divisé en fascicule, chacun applicable à une prestation particulière. Le fascicule 35 est spécifique aux aménagements paysagers et aux aires de sports et de loisirs de plein air. Il est obligatoire pour les maîtres d’ouvrage public.

La filière du paysage s’est mobilisée, depuis plus de deux ans, pour réécrire ce référentiel devenu obsolète. Le nouveau fascicule 35 permettra de concevoir et réaliser des projets plus durables répondant mieux aux enjeux environnementaux et sociétaux.

En attendant sa parution au Journal Officiel dans les prochaines semaines, toute la filière s’est réunie, le vendredi 20 novembre, à l’occasion d’une table-ronde présentant ce nouveau fascicule 35.

Aboutissement de deux années de travail concerté avec tous les acteurs du paysage, cet outil constitue une réponse opérationnelle à des enjeux et à une ambition politiques et écologiques élevés. Le cadre qu’il propose et ses prescriptions sont garants de la durabilité et de la pérennité des aménagements paysagers. Ainsi, toutes les parties prenantes du paysage sont invitées à s’approprier ce fascicule 35, pour contribuer à rendre plus vertueux encore le paysage, et à lui donner un rôle clé dans la préservation de la biodiversité, dans la lutte contre les points chauds, dans l’objectif de zéro artificialisation des sols.

Retrouvez la vidéo sur le site des entreprises du paysage

Pourquoi/comment gérer et valoriser les haies bocagères ?

Vous vous intéressez à la gestion et à la valorisation de vos haies bocagères ou accompagnez des agriculteur.trices dans ce domaine ? Découvrez le Pourquoi-Comment Bocage, réalisé par les CIVAM des Pays de la Loire !

A l’intérieur d’un document qui explore le « Pourquoi ? », en reprenant des informations sur les intérêts écologiques, agronomiques et économiques des haies bocagères, ainsi que des informations d’ordre réglementaire (plantation, PAC, documents d’urbanisme), vous trouverez 8 fiches qui illustrent comment des agriculteurs du territoire ont abordé la gestion et la valorisation des haies sur leur ferme : planification, densification, accueil de la biodiversité, production de fourrage, de plaquette, de bois d’œuvre… 3 des fiches sont enrichies de vidéos tutorielles qui donnent à voir des repères techniques et pratiques de base.

Pour télécharger le guide, c’est ICI

Zonage pluvial : guide du CEREMA

Image couverture : Zonage pluvial - De son élaboration à sa mise en œuvreVéritable guide méthodologique, cet ouvrage réalisé par le Cerema offre aux collectivités toutes les connaissances nécessaires à l’élaboration de leur zonage pluvial. Il s’appuie sur les expériences concrètes afin de les aider à déployer cet outil sur l’ensemble du territoire qu’il soit urbain ou rural.

Vous pouvez le télécharger ICI.

Ou sur le site du CEREMA, ICI

Etude d’impact pour l’éolien : nouvelle version du guide

La version mise à jour du guide relatif à l’élaboration des études d’impacts des projets de parcs éoliens est disponible sur le site du Ministère !

Vous pouvez le télécharger ICI.

Bonne lecture !

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