Les prairies permanentes : évolution des surfaces en France – Ministère du Développement durable

Les prairies permanentes portent de nombreux enjeux économiques, environnementaux et culturels et font l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics communautaires et nationaux. Entre 2006 et 2010, les surfaces déclarées en prairies permanentes ont cependant chuté de 6,3%, dont 3% sur la seule période 2009-2010, pour représenter en 2010 un cinquième de la surface agricole utile (SAU). Cette évolution affecte la plupart des régions agricoles, mais plus particulièrement le Nord-ouest et le Sud-est de la France. Au niveau des parcelles, cette évolution se traduit par des retournements, mais aussi par des changements de déclaration au profit des autres surfaces en herbe (praires temporaires, landes et estives). Dans ce dernier cas, la diminution relève essentiellement d’artefacts déclaratifs, résultant de l’adaptation de la stratégie des agriculteurs aux modifications de dispositifs politiques de soutien à l’herbe. Elle appelle toutefois à la vigilance car le déclassement d’une prairie permanente lui fait perdre son statut protecteur et rend possible à terme le retournement.

L’analyse fine du phénomène a été permise par l’exploitation de l’outil que constitue le Registre parcellaire graphique, qui fournit une lecture géographique et chronologique au niveau de la « région agricole », unité homogène du point de vue agricole. Ce même outil permettra le suivi et la surveillance des prochaines évolutions.

Une lecture géographique puis une lecture diachronique permettent de préciser les dynamiques à l’oeuvre.

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les prairies permanentes : évolution des surfaces en France (PDF – 575.4 ko)

via : Les prairies permanentes : évolution des surfaces en France – Ministère du Développement durable.

Photovoltaïque : un guide pratique de référence sur le risque électrique > Solaire – Enerzine.com

Malgré un contexte national difficile, les acteurs de la filière photovoltaïque croient au développement de ce nouveau mode de production d’énergie électrique en France et restent mobilisés.

Le solaire photovoltaïque a parfois suscité des interrogations quant aux risques encourus par les équipes de sécurité civile amenées à intervenir en cas d’incendie à proximité de ces installations.

Aussi il est apparu nécessaire aux représentants de la filière photovoltaïque (SER-SOLER, GIMELEC) associés aux chercheurs du CEA à l’INES de rendre ces risques mieux identifiables et de permettre aux équipes de secours de mieux les maîtriser.

Le guide « Maîtriser le risque électrique sur les installations photovoltaïques » constitue une synthèse des risques factuels présentés par les générateurs photovoltaïques et leurs installations électriques associées. Il établit un ensemble de dispositions pratiques et de recommandations en opération afin de prévenir et diminuer l’impact des risques électriques spécifiques au photovoltaïque pour ces professionnels.

Ce document apporte des réponses claires aux questions des sapeurs-pompiers. Il est le fruit de nombreux échanges entre la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises, les représentants des services de secours, les organismes professionnels représentatifs que sont le Gimélec et SER-SOLER, ainsi que les chercheurs de l’Institut National de l’Energie Solaire.

Le guide a été envoyé à tous les services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), préfectures, états-majors de zones, en France métropolitaine et dans les DOM COM.

Cette contribution des acteurs de la filière photovoltaïque au profit et avec le concours des sapeurs-pompiers conduira à une meilleure compréhension et à la maîtrise du risque, et permettra de poursuivre un partenariat déjà très fructueux.

>>>> Télécharger et consulter le guide (.pdf)

via : Photovoltaïque : un guide pratique de référence sur le risque électrique > Solaire – Enerzine.com.

Photovoltaïque : 800 MW d’appel d’offres sur 2014-2017

2014 devrait voir le lancement d’un nouvel appel d’offre de 800 MW pour le photovoltaïque a annoncé Philippe Martin, notre ministre de l’Ecologie,

« La transition énergétique commande de développer les énergies renouvelables et vous avez bien raison de le dire, dans ce contexte le secteur du photovoltaïque souffre et vous avez raison là aussi de le souligner. Des entreprises sont menacées, je pense au cas précis de l’usine Bosch de Vénissieux dont la situation résulte d’abord du choix du groupe Allemand de sortir de l’activité du solaire.« 

« Vous l’avez rappelé, le gouvernement a pris des mesures d’urgences, dont les effets commencent à se faire sentir puisqu’au 3e trimestre 2013, 200 MW ont été installés, soit autant que l’ensemble des deux premiers trimestres. D’ailleurs, si certaines entreprises souffrent, d’autres se portent bien comme Néoen, Fonroche en Aquitaine, Voltech en Alsace ou encore Akuo Energy. Pour conforter cet élan, le gouvernement lancera début 2014, un appel d’offres pour les installations photovoltaïques, tous dispositifs de soutien confondus, au moins 800 MW seront garantis jusqu’en 2017. »

Eolien : une étude préconise d’améliorer les tarifs d’achat

EvaluationAlors que le gouvernement a annoncé une remise à plat des dispositifs de soutien aux énergies renouvelables, FEE présente une étude qui défend le maintien des tarifs d’achat, mais préconise de les améliorer pour optimiser la production éolienne.

Les tarifs d’achat permettent de limiter les coûts de l’éolien, car ils sont bien plus sécurisants que d’autres dispositifs de soutien. C’est en substance ce qui ressort de l’étude Eolien et intégration marché, étude comparée des schémas de financement, réalisée par le cabinet E-Cube strategy consultants et présentée par France énergie éolienne (FEE) le 30 octobre. Le cabinet avait déjà réalisé pour FEE une étude sur la valeur et les coûts de l’éolien, présentée en février dernier, qui soulignait les effets positifs de l’éolien sur la facture énergétique des Français d’ici 2025.

la suite de l’article sur Eolien : une étude préconise d’améliorer les tarifs d’achat.

L’avis de l’ADEME sur le bois énergie et la qualité de l’air

L’ADEME encourage le développement du bois comme source d’énergie pour la production de chaleur tout en veillant à l’utilisation de combustibles appropriés et de techniques efficaces à haute performance environnementale. En effet, en raison de la présence importante dans le parc domestique d’appareils anciens (avant 2002) et de foyers ouverts, le chauffage au bois peut, en période hivernale, dans certaines régions, contribuer fortement à la pollution atmosphérique. L’Agence recommande, en priorité dans les zones où la qualité de l’air doit être particulièrement améliorée, de réduire, pour le parc résidentiel, l’usage des foyers ouverts et appareils à foyers fermés antérieurs à 2002 et de mettre en place, pour le parc collectif et industriel, les meilleures techniques disponibles permettant de réduire les émissions de polluants (particules, HAP, NOx et COV).

Lire l’Avis de l’ADEME sur le bois énergie et la qualité de l’air

Voir aussi l’étude le l’ADEME sur Le chauffage domestique au bois : marchés et approvisionnement

Environnement, énergie : un nouveau site pour renseigner les Haut-Normands

Mercredi 23 octobre 2013, la Direction régionale de l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) lance un site internet spécifique à la Haute-Normandie pour favoriser l’accompagnement des citoyens, entreprises ou collectivités. On y trouve des informations relatives aux politiques publiques dans les domaines de l’environnement, de l’énergie et du développement durable et à leurs applications en région.

C’est ici :

Lien : www.haute-normandie.ademe.fr

Le colloque national éolien du Havre est en ligne

Vous pouvez consulter les vidéos en cliquant sur l’image :

Coopérative Combrailles Durables : Le photovoltaïque citoyen | Plein Soleil

La coopérative d’intérêt collectif SCIC Combrailles Durables sans but lucratif regroupe des citoyens lambda, au nombre de 176 au 10 octobre 2013.

Elle est animée pas une groupe d’une quinzaine de bénévoles. Cette coopérative a mis en service et exploite des petites centrales solaires photovoltaïques en toiture de bâtiments publics. Sept petites centrales sont ainsi déjà en production sur des lycées, écoles, mairies,… et quatre sont en projets pour 2014. En termes de puissance cumulée, ces sept centrales affichent 103 kWc et produisent 109 000 kwh/an soit l’équivalent de la consommation annuelle de 40 foyers.

Objectif fin 2014 pour la coopérative citoyenne : Tripler la production avec quelques jolis projets sur le grill. Et c’est en Auvergne que tout cela se passe bien sûr, dans la chaîne des volcans autour d’une commune d’irréductibles : Loubeyrat.

En un mot, la genèse du projet ! Au départ une cagnotte associative, rapidement abondée de quelques subventions, enrichie de souscriptions de parts coopératives locales ou plus lointaines – certains coopérateurs résident en Corse, dans le Périgord, en Béarn. Depuis le début, toute la production est livrée à EDF en attendant de pouvoir vendre à Enercoop, les sommes collectées sont intégralement ré-investies sur les projets futurs.

Pour permettre de toucher un public plus large que les vaillants coopérateurs, la plate-forme de micro funding Ulule est mobilisée, chacun peut depuis chez lui apporter des fonds à partir de 1€ et recevoir en échanges quelques contre parties et surtout avoir la fierté de pouvoir dire c’est un peu grâce à moi !

Date limite de souscription : 15 novembre au plus tard.Plus d’infos…

via Coopérative Combrailles Durables : Le photovoltaïque citoyen | Plein Soleil.

Le journal des énergies renouvelables : le soleil au service de l’Homme

En juin 1973 se tenait à l’Unesco le congrès « Le soleil au service de l’homme ». Fêté vingt ans plus tard par une autre manifestation « Le soleil au service de l’humanité », il est à nouveau honoré le 3 octobre 2013, pour son quarantième anniversaire, sous le titre « Les énergies renouvelables au service de l’humanité ».

En publiant ces quelques pages, Systèmes Solaires, Le Journal des Énergies Renouvelables a souhaité contribuer, aux manifestations du quarantième anniversaire, en présentant des grandes figures de l’époque, leurs textes et leurs réalisations ; sans lesquels les énergies vertes ne seraient pas devenues ce qu’elles sont.

De 1973 à 2013 les technologies des renouvelables ont accompli un parcours remarquable. Championnes d’un environnement sans nuisances, on peut affirmer que la route leur est désormais grande ouverte. Un effort important reste sans nul doute à accomplir pour qu’elles se mettent authentiquement au service de l’humanité. Nées dans l’esprit de leurs concepteurs pour apporter l’énergie aux plus démunis, elles ont tout d’abord logiquement fleuri sur des terrains prospères mais il est temps désormais de leur rappeler aussi leur vocation initiale.

Télécharger l’édition spéciale

viaPublications ADEME.

Les écoquartiers ou éco-quartiers, le point sur…

Depuis quelques années, toutes sortes de quartiers « durables », « intelligents » ou « écoquartiers » pullulent en Europe : après BedZED à Londres, Vauban à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne) ou encore Bo01 à Malmö (Suède), les écoquartiers ont fait leur apparition en France. Le plus célèbre d’entre eux est peut-être la caserne de Bonne, à Grenoble, lauréat du concours national écoquartiers 2009.

Écoquartier : définition

Il est difficile d’en donner une définition précise et concise, puisque l’une des caractéristiques fondamentales de l’écoquartier est d’être un ensemble de solutions adaptées à un contexte local. Un quartier durable est préférablement central, bien desservi par les transports en commun et les cheminements doux (piétons, cyclistes). Il intègre de la mixité sociale[1] et fonctionnelle[2], de l’habitat dense pour éviter le gaspillage des espaces, une bonne orientation et une bonne isolation des bâtiments, la recherche de la sobriété énergétique et le recours à des énergies renouvelables, des formes urbaines et des espaces publics de qualité, une valorisation et une gestion durable de l’eau (collecte de l’eau de pluie pour l’arrosage, etc.), une gestion efficace des déchets, la participation de tous les habitants à la vie du quartier (cela peut aller à de la concertation lors de la phase projet à l’animation quotidienne de certaines installations). L’écoquartier se soucie également de la biodiversité urbaine et propose des espaces de nature en ville.

Lire le dossier complet sur Les écoquartiers ou éco-quartiers – notre-planete.info.

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